Mira FIRTIS est actuellement en 2e année du programme BACHELOR de « Chargée d’affaires commerciales » à ISTEC Bruxelles. Elle a intégré l’école en février 2024, dans le cadre de la rentrée décalée. Elle partage aujourd’hui les raisons de sa réorientation.
Pouvez-vous nous raconter votre parcours avant l’ISTEC ? Qu’est-ce qui vous a motivée à vous ré-orienter en rentrée décalée?
Avant de rejoindre l’ISTEC Bruxelles, j’étais en première année de pharmacie à l’Uclouvain. Mais au bout de quelques mois, j’ai compris que ce n’était pas fait pour moi. Le système universitaire et le contenu des cours ne me correspondaient pas du tout . J’ai alors décidé de chercher une autre voie, car je ne voulais pas perdre mon temps dans des études qui ne me plaisaient pas. Comme j’avais déjà un intérêt pour le business et le marketing, j’ai commencé à me renseigner sur les écoles qui proposaient ce type de parcours. La possibilité d’une rentrée décalée à l’ISTEC Bruxelles m’a semblé être une bonne option pour ne pas perdre une année.
Comment s’est déroulée votre intégration au sein de l’école ?
Au début, j’avais quelques doutes sur le système d’alternance, car c’était une première pour moi. J’avais peur de ne pas m’adapter et de ne pas réussir à suivre le rythme. Mais dès que j’ai commencé, je me suis vite rendu compte que j’avais fait le bon choix. Mon intégration à l’ISTEC s’est très bien passée. Les professeurs étaient présents et toujours prêts à aider. Ils ont mis en place des solutions pour qu’on puisse rattraper les cours, ce qui m’a permis de prendre le rythme sans me sentir dépassée. Contrairement à l’université, j’ai trouvé l’ambiance plus accessible et le cadre plus humain.
Quels défis avez-vous rencontrés en rejoignant une formation en cours d’année ? Comment les avez-vous surmontés ?
Changer de parcours en cours d’année, ça fait forcément douter. J’avais peur de refaire un mauvais choix et de me retrouver encore une fois au point de départ. En plus, le système d’alternance était nouveau pour moi, ce qui ajoutait un peu plus de stress. Le plus gros défi a été de trouver un stage sans avoir d’expérience professionnelle. C’était une étape difficile au début mais j’ai réussi à décrocher un stage. Grâce à la flexibilité de l’école, j’ai pu suivre ce stage tout en validant mon année, ce qui m’a énormément aidée à évoluer sur le plan personnel et professionnel. Aujourd’hui, ma plus grande satisfaction, c’est d’avoir trouvé un système qui me correspond vraiment. Le stress des blocus et des examens à l’université a laissé place à un cadre plus apaisant. Je me sens plus à l’aise et plus épanouie dans mes études.
Comment cette réorientation a-t-elle influencé vos projets professionnels futurs ?
Cette réorientation a complètement changé ma vision de l’avenir. Elle m’a permis de mieux me connaître et de comprendre ce que je voulais vraiment faire. À court terme, je veux continuer à renforcer mes compétences en marketing et en business, notamment grâce à mon stage, qui m’apporte énormément. Sur le long terme, j’aimerais poursuivre mes études et faire un Master.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants qui envisagent une réorientation en rentrée décalée ?
Pour les étudiants qui hésitent à faire une rentrée décalée, je dirais : n’hésitez pas ! Si vous sentez que le business et le marketing vous intéressent, lancez-vous. Le système est très différent de celui des universités belges. En ayant connu les deux, je peux dire que l’ISTEC m’a permis de me découvrir, de mieux comprendre ce que je voulais faire et d’apprendre dans de bien meilleures conditions. Après environ un an dans cette école, je ne regrette absolument pas mon choix. Cette expérience m’a permis de grandir sur le plan personnel et professionnel. Elle m’a aussi donné la chance de rencontrer des personnes inspirantes et de découvrir un environnement de travail plus stimulant.
Merci à Mira FIRTIS pour son témoignage sur la rentrée décalée.
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